Avec désormais 80% de taux de couverture pour le RCS, sentez -vous une bascule dans le comportement des annonceurs ?
BB - Quand nous avons débuté la promotion du RCS en 2021, le taux de couverture ne dépassait pas les 20% et la plupart des marques ne s’engageaient que sur des phases d’expérimentation.
Depuis les annonces d’Apple et l’arrivée du RCS chez les 4 opérateurs français, aussi bien sur Android que sur iOS, la donne a effectivement complètement changé.
Avec un taux de couverture qui dépasse aujourd’hui les 80%, cette phase d’évangélisation est désormais derrière nous et nous recevons de plus en plus d’appels entrants de marques, qui ont compris que le RCS était désormais un canal stratégique pour elles.
Au-delà de la couverture, quels sont les KPIs les plus appréciés par les marques ? Les taux d’ouverture ? les taux d’engagement ? D’autres KPIs ?
BB - Pour mesurer l’impact d’une campagne, les marques ont besoin d’indicateurs et le premier d’entre eux, c’est la délivrabilité.
Chez LINK, nous visons les 100% car nos plateformes SaaS proposent une solution de repli SMS automatique avec un lien hypertexte, pour adresser les mobiles qui ne pourraient pas recevoir de RCS : aujourd’hui on constate que près de 80% des messages sont délivrés en RCS, et donc environ 20% en messages de repli.
Nouvel indicateur sur le canal RCS, les annonceurs sont également très sensibles au taux de lecture (encore appelé taux d’ouverture) qui oscille en moyenne entre 70 et 80% pour les meilleures campagnes.
Autres indicateurs importants en RCS :
Avec le SMS Push, les consommateurs ne répondaient pas aux messages. Avec le RCS et l’IA Générative, faut-il réapprendre aux marques à échanger avec leurs prospects et leurs clients ?
BB - C’est vrai qu’avec le RCS, on change de paradigme et les marques doivent effectivement adopter un marketing conversationnel en passant du « one-to-many » au « one-to-one ».
Cela nécessite de proposer le bon canal, d’écouter ses consommateurs, de leur poser les bonnes questions, d’apporter des réponses personnalisées, au besoin en utilisant de l’intelligence artificielle générative.
Les données issues de ces échanges, intégrées à nos outils, sont au service de nos clients pour réussir cette migration vers un véritable marketing conversationnel.
De grandes marques ou de grandes enseignes telles que L’Oréal, la MAIF, ou Galeries Lafayette déploient depuis déjà quelques mois ce type de campagne, dans lesquelles elles cherchent à établir un lien toujours plus personnel avec leurs clients.
BB - Quand nous avons débuté la promotion du RCS en 2021, le taux de couverture ne dépassait pas les 20% et la plupart des marques ne s’engageaient que sur des phases d’expérimentation.
Depuis les annonces d’Apple et l’arrivée du RCS chez les 4 opérateurs français, aussi bien sur Android que sur iOS, la donne a effectivement complètement changé.
Avec un taux de couverture qui dépasse aujourd’hui les 80%, cette phase d’évangélisation est désormais derrière nous et nous recevons de plus en plus d’appels entrants de marques, qui ont compris que le RCS était désormais un canal stratégique pour elles.
Au-delà de la couverture, quels sont les KPIs les plus appréciés par les marques ? Les taux d’ouverture ? les taux d’engagement ? D’autres KPIs ?
BB - Pour mesurer l’impact d’une campagne, les marques ont besoin d’indicateurs et le premier d’entre eux, c’est la délivrabilité.
Chez LINK, nous visons les 100% car nos plateformes SaaS proposent une solution de repli SMS automatique avec un lien hypertexte, pour adresser les mobiles qui ne pourraient pas recevoir de RCS : aujourd’hui on constate que près de 80% des messages sont délivrés en RCS, et donc environ 20% en messages de repli.
Nouvel indicateur sur le canal RCS, les annonceurs sont également très sensibles au taux de lecture (encore appelé taux d’ouverture) qui oscille en moyenne entre 70 et 80% pour les meilleures campagnes.
Autres indicateurs importants en RCS :
- Le taux de clic correspond au nombre de destinataires qui ont interagi avec le message (clic sur un bouton d’action, clic sur une réponse suggérée), mesuré sur le nombre total de messages livrés aux destinataires. C’est ce taux de clic qui est en moyenne 5 fois supérieur en RCS par rapport au SMS ;
- Le taux de réactivité correspond au nombre de destinataires qui ont interagi avec le message (clic sur un bouton d’action, clic sur une réponse suggérée), mesuré sur le nombre total de messages lus (ouverts) par les destinataires. Ce taux n’est disponible qu’en RCS puisque la lecture n’est pas mesurable en SMS ;
- Le taux de complétion (uniquement pour les conversations RCS) correspond au nombre de destinataires qui sont allés au bout du dispositif conversationnel, mesuré sur le nombre total de conversations déclenchées ;
- Le temps d’exposition (uniquement pour les conversations RCS) permet de quantifier le temps moyen passé par les destinataires à dérouler une conversation. Cet indicateur contribue à développer la notoriété d’une marque.
Avec le SMS Push, les consommateurs ne répondaient pas aux messages. Avec le RCS et l’IA Générative, faut-il réapprendre aux marques à échanger avec leurs prospects et leurs clients ?
BB - C’est vrai qu’avec le RCS, on change de paradigme et les marques doivent effectivement adopter un marketing conversationnel en passant du « one-to-many » au « one-to-one ».
Cela nécessite de proposer le bon canal, d’écouter ses consommateurs, de leur poser les bonnes questions, d’apporter des réponses personnalisées, au besoin en utilisant de l’intelligence artificielle générative.
Les données issues de ces échanges, intégrées à nos outils, sont au service de nos clients pour réussir cette migration vers un véritable marketing conversationnel.
De grandes marques ou de grandes enseignes telles que L’Oréal, la MAIF, ou Galeries Lafayette déploient depuis déjà quelques mois ce type de campagne, dans lesquelles elles cherchent à établir un lien toujours plus personnel avec leurs clients.