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AppsFlyer, référence mondiale en mesure marketing mobile, dévoile une étude inédite sur l’impact émotionnel de la finale de la Ligue des Champions 2024 sur les comportements numériques en Europe. À travers l’analyse de 2,1 millions de sessions entre 21h et minuit, les données révèlent comment les temps forts du match entre le PSG et l’Inter Milan ont influencé en temps réel l’utilisation des applications mobiles.
Côté français, la victoire écrasante du PSG (5-0) a généré un véritable emballement numérique. Les réseaux sociaux ont enregistré une hausse de 49 % à la mi-temps et sont restés dynamiques (+24 %) après le match. Les applications de paris sportifs ont explosé dès les premiers buts (+198 %, puis +105 %), avec un regain de 81 % à la pause. Même les apps de rencontres ont bénéficié de cet élan (+22 % à la mi-temps, +10 % à la remise du trophée).
En Italie, le contraste est saisissant. Si l’activité numérique est restée forte jusqu’à la pause (+48 % sur les réseaux sociaux et +25 % sur les applis de rencontres), tous les indicateurs ont chuté dès la fin du match : -12 % sur les réseaux sociaux, -9 % sur les apps de rencontres et -55 % sur les livraisons de repas. Un bref sursaut de +26 % a tout de même été observé à la remise du trophée.
L’analyse géographique renforce ce clivage émotionnel. Milan a affiché le pic social le plus élevé à la mi-temps (+53 %), suivi d’un net repli (-12 %), tandis que Paris, avec un pic plus modéré (+30 %), a connu une baisse plus contenue (-3 %) après la victoire, symbole de célébrations prolongées.
Au-delà du duel France-Italie, les usages varient selon les catégories d’applications. Les apps de paris restent actives durant l’ensemble du match. Les apps de rencontres, elles, enregistrent leurs pics à la mi-temps, moment privilégié pour les interactions sociales. Quant aux services de livraison de repas, leur usage diminue pendant les moments de tension mais rebondit en période de liesse.
D’autres pays européens révèlent des tendances intéressantes. Au Royaume-Uni, l’usage des réseaux sociaux progresse légèrement (+14 % à la mi-temps, +20 % après le match), tandis que les paris explosent (+59 % après le premier but). En Espagne, l’activité sociale grimpe de +25 % à la pause et reste élevée après le match (+19 %), malgré un effondrement des paris sportifs (-56 %). L’Allemagne se montre plus détachée, avec une faible hausse à la mi-temps (+6 %) et des baisses marquées après le match (-13 %).
Côté français, la victoire écrasante du PSG (5-0) a généré un véritable emballement numérique. Les réseaux sociaux ont enregistré une hausse de 49 % à la mi-temps et sont restés dynamiques (+24 %) après le match. Les applications de paris sportifs ont explosé dès les premiers buts (+198 %, puis +105 %), avec un regain de 81 % à la pause. Même les apps de rencontres ont bénéficié de cet élan (+22 % à la mi-temps, +10 % à la remise du trophée).
En Italie, le contraste est saisissant. Si l’activité numérique est restée forte jusqu’à la pause (+48 % sur les réseaux sociaux et +25 % sur les applis de rencontres), tous les indicateurs ont chuté dès la fin du match : -12 % sur les réseaux sociaux, -9 % sur les apps de rencontres et -55 % sur les livraisons de repas. Un bref sursaut de +26 % a tout de même été observé à la remise du trophée.
L’analyse géographique renforce ce clivage émotionnel. Milan a affiché le pic social le plus élevé à la mi-temps (+53 %), suivi d’un net repli (-12 %), tandis que Paris, avec un pic plus modéré (+30 %), a connu une baisse plus contenue (-3 %) après la victoire, symbole de célébrations prolongées.
Au-delà du duel France-Italie, les usages varient selon les catégories d’applications. Les apps de paris restent actives durant l’ensemble du match. Les apps de rencontres, elles, enregistrent leurs pics à la mi-temps, moment privilégié pour les interactions sociales. Quant aux services de livraison de repas, leur usage diminue pendant les moments de tension mais rebondit en période de liesse.
D’autres pays européens révèlent des tendances intéressantes. Au Royaume-Uni, l’usage des réseaux sociaux progresse légèrement (+14 % à la mi-temps, +20 % après le match), tandis que les paris explosent (+59 % après le premier but). En Espagne, l’activité sociale grimpe de +25 % à la pause et reste élevée après le match (+19 %), malgré un effondrement des paris sportifs (-56 %). L’Allemagne se montre plus détachée, avec une faible hausse à la mi-temps (+6 %) et des baisses marquées après le match (-13 %).
Pour Paul Wright, directeur Europe de l’Ouest et MENA chez AppsFlyer, « le sport en direct bouscule les règles du marketing digital. Les marques doivent intégrer l’impact émotionnel des moments clés de la rencontre dans leurs stratégies d'engagement ».
L’étude confirme que les événements sportifs de grande ampleur comme la Ligue des Champions ne sont pas seulement des moments de passion collective, mais aussi des leviers puissants d’engagement mobile. En analysant ces fenêtres émotionnelles, les marques peuvent affiner leurs campagnes pour mieux capter l’attention de leurs audiences.
Sarah Maina nouvelle responsable de Appsflyer France
