PaperSlate, c’est l’étape logique après Bookeen ?
MD - En quelque sorte, avec Bookeen, on avait déjà cette idée d’utiliser la technologie pour prolonger le papier, pas pour le remplacer. On a permis à des millions de lecteurs de passer au numérique sans perdre le confort du livre papier.
Avec Paperslate, on applique la même philosophie au monde du travail. L’objectif, c’est de réinventer le bloc-notes, un outil universel, mais en y ajoutant l’intelligence du numérique .
Pour dire vrai, le vrai déclencheur de l'aventure Paperslate, a été l’explosion de l’IA. Elle nous permet enfin de donner une seconde vie à l’écriture manuscrite : les écrits deviennent instantanément exploitables, classables, partageables, tout en gardant le plaisir du geste.
Pourquoi rester fidèle à l’encre électronique ? L’autonomie reste un critère essentiel pour vos clients ?
MD - L’encre électronique reste une technologie unique. Elle offre une lisibilité parfaite dans toutes les conditions et une autonomie exceptionnelle — on parle de semaines d’usage, pas de jours.
C’est essentiel, parce qu’un carnet de notes, on doit pouvoir le dégainer à tout moment, sans se demander s’il reste 20 % de batterie.
Mais au-delà de la technique, il y a aussi une dimension de confort mental. Écrire sur un écran e-ink, c’est retrouver la sensation du papier, la concentration, le plaisir du trait.
L’IA facilite l’OCR mais demain pourrait-elle même remplacer le principe même de l’écran grâce aux interactions vocales ?
MD - Je ne crois pas que la voix remplacera l’écriture. Les deux se complètent. La voix est idéale pour dicter, pour interagir, mais l’écriture reste irremplaçable quand il s’agit de réfléchir, de structurer sa pensée, de poser une idée.
Ce que l’IA permet, c’est justement de connecter ces deux modes d'interaction. Une note manuscrite pourra être enrichie par un mot-clé, un commentaire voire même l'intégralité d’une conversation.
Demain, Paperslate ne fera pas qu’interpréter ce que vous écrivez, elle comprendra le contexte dans lequel votre note a été prise. Et c’est là que l’IA deviendra un vrai assistant et pas un simple outil de reconnaissance OCR.
MD - En quelque sorte, avec Bookeen, on avait déjà cette idée d’utiliser la technologie pour prolonger le papier, pas pour le remplacer. On a permis à des millions de lecteurs de passer au numérique sans perdre le confort du livre papier.
Avec Paperslate, on applique la même philosophie au monde du travail. L’objectif, c’est de réinventer le bloc-notes, un outil universel, mais en y ajoutant l’intelligence du numérique .
Pour dire vrai, le vrai déclencheur de l'aventure Paperslate, a été l’explosion de l’IA. Elle nous permet enfin de donner une seconde vie à l’écriture manuscrite : les écrits deviennent instantanément exploitables, classables, partageables, tout en gardant le plaisir du geste.
Pourquoi rester fidèle à l’encre électronique ? L’autonomie reste un critère essentiel pour vos clients ?
MD - L’encre électronique reste une technologie unique. Elle offre une lisibilité parfaite dans toutes les conditions et une autonomie exceptionnelle — on parle de semaines d’usage, pas de jours.
C’est essentiel, parce qu’un carnet de notes, on doit pouvoir le dégainer à tout moment, sans se demander s’il reste 20 % de batterie.
Mais au-delà de la technique, il y a aussi une dimension de confort mental. Écrire sur un écran e-ink, c’est retrouver la sensation du papier, la concentration, le plaisir du trait.
L’IA facilite l’OCR mais demain pourrait-elle même remplacer le principe même de l’écran grâce aux interactions vocales ?
MD - Je ne crois pas que la voix remplacera l’écriture. Les deux se complètent. La voix est idéale pour dicter, pour interagir, mais l’écriture reste irremplaçable quand il s’agit de réfléchir, de structurer sa pensée, de poser une idée.
Ce que l’IA permet, c’est justement de connecter ces deux modes d'interaction. Une note manuscrite pourra être enrichie par un mot-clé, un commentaire voire même l'intégralité d’une conversation.
Demain, Paperslate ne fera pas qu’interpréter ce que vous écrivez, elle comprendra le contexte dans lequel votre note a été prise. Et c’est là que l’IA deviendra un vrai assistant et pas un simple outil de reconnaissance OCR.



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