La Machine
À l'heure où chaque objet se doit d'être connecté, intelligent et productif, une équipe de créateurs français de renom lance un pavé dans la mare technologique.
"la machine" est un objet électronique qui refuse de servir. Inspirée de "la machine ultime" créée en 1952 par le pionnier de l'intelligence artificielle Marvin Minsky, son unique fonction est de s'éteindre elle-même. Loin d'être un simple gadget, elle propose une réflexion sur notre dépendance à la technologie et la course effrénée à l'utilité.
Une équipe de pionniers aux commandes
Derrière ce projet audacieux se cache une équipe d'exception. Elle est menée par Olivier Mével, fondateur de la maison d'édition Multiplié et surtout connu pour être le créateur du Nabaztag, l’un des premier objets connectés grand public. Il est entouré de l'artiste sonore Alexis Malbert (Tapetronic), du studio de design multi-primé Elium Studio, du développeur Paul Guyot, ancien CTO de Violet, ainsi que de Pascale Moise et Benjamin Rossignol.
Une expérience unique et espiègle
Chaque interaction avec "la machine" est conçue pour être unique. À chaque activation, elle exécute une chorégraphie de mouvements et une séquence sonore inédite, grâce à un algorithme qui garantit qu'aucune machine ne se comportera comme une autre.
Plus surprenant encore, elle est dotée d'un semblant de caractère. Si vous l'ignorez trop longtemps, elle sortira son petit bras pour attirer votre attention (mais jamais la nuit, promettent les créateurs). Il lui arrive même de refuser de coopérer, se faisant passer pour cassée avant de "renaître avec facétie".
Une éthique locale, durable et ouverte
Avec ses formes géométriques et ses couleurs vives inspirées du designer Ettore Sottsass, "la machine" est un bel objet. Mais son éthique est tout aussi soignée : elle est
fabriquée en France à partir de plastique recyclé.
Fidèle au mouvement "maker" qui défie la standardisation, sa conception est 100% open source (logiciel, mécanique et électronique) et compatible Arduino, invitant les utilisateurs à la personnaliser et la reprogrammer. En rupture totale avec les géants de la tech, elle ne collecte aucune donnée, n'envoie aucune notification et ne cherche pas à capter votre attention. Son seul but est de créer un moment de jeu et de joie, nous rappelant que l'inutile est peut-être un précieux espace de liberté.
Comment se la procurer ? Ouverture des précommandes : Mardi 9 septembre à 9h Série : 2 500 exemplaires collector, signés et numérotés Prix : 79€ en précommande exclusive Livraison : Prévue pour février 2026 Disponibilité : Europe, Royaume-Uni, États-Unis et Canada Site officiel : la-machine.fr
"la machine" est un objet électronique qui refuse de servir. Inspirée de "la machine ultime" créée en 1952 par le pionnier de l'intelligence artificielle Marvin Minsky, son unique fonction est de s'éteindre elle-même. Loin d'être un simple gadget, elle propose une réflexion sur notre dépendance à la technologie et la course effrénée à l'utilité.
Une équipe de pionniers aux commandes
Derrière ce projet audacieux se cache une équipe d'exception. Elle est menée par Olivier Mével, fondateur de la maison d'édition Multiplié et surtout connu pour être le créateur du Nabaztag, l’un des premier objets connectés grand public. Il est entouré de l'artiste sonore Alexis Malbert (Tapetronic), du studio de design multi-primé Elium Studio, du développeur Paul Guyot, ancien CTO de Violet, ainsi que de Pascale Moise et Benjamin Rossignol.
Une expérience unique et espiègle
Chaque interaction avec "la machine" est conçue pour être unique. À chaque activation, elle exécute une chorégraphie de mouvements et une séquence sonore inédite, grâce à un algorithme qui garantit qu'aucune machine ne se comportera comme une autre.
Plus surprenant encore, elle est dotée d'un semblant de caractère. Si vous l'ignorez trop longtemps, elle sortira son petit bras pour attirer votre attention (mais jamais la nuit, promettent les créateurs). Il lui arrive même de refuser de coopérer, se faisant passer pour cassée avant de "renaître avec facétie".
Une éthique locale, durable et ouverte
Avec ses formes géométriques et ses couleurs vives inspirées du designer Ettore Sottsass, "la machine" est un bel objet. Mais son éthique est tout aussi soignée : elle est
fabriquée en France à partir de plastique recyclé.
Fidèle au mouvement "maker" qui défie la standardisation, sa conception est 100% open source (logiciel, mécanique et électronique) et compatible Arduino, invitant les utilisateurs à la personnaliser et la reprogrammer. En rupture totale avec les géants de la tech, elle ne collecte aucune donnée, n'envoie aucune notification et ne cherche pas à capter votre attention. Son seul but est de créer un moment de jeu et de joie, nous rappelant que l'inutile est peut-être un précieux espace de liberté.
Comment se la procurer ? Ouverture des précommandes : Mardi 9 septembre à 9h Série : 2 500 exemplaires collector, signés et numérotés Prix : 79€ en précommande exclusive Livraison : Prévue pour février 2026 Disponibilité : Europe, Royaume-Uni, États-Unis et Canada Site officiel : la-machine.fr
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