l’UE veut encore durcir sa réglementation contre la "désinformation".


Plus de 30 signataires, dont des organismes publicitaires, se sont engagés à respecter le code de bonnes pratiques actualisé sur la désinformation, a déclaré la Commission européenne.



La Commission européenne devrait cibler la société mère de Facebook Meta, Google, Twitter, Microsoft et TikTok avec de nouvelles mesures pour lutter contre les formes de désinformation, y compris les deepfakes et les faux comptes, selon des rapports de Reuters et du Financial Times. Les entreprises qui ne respectent pas la réglementation mise à jour pourraient faire face à de lourdes amendes.

Plus de 30 signataires, dont des organismes publicitaires, se sont engagés à respecter le code de bonnes pratiques actualisé sur la désinformation, a déclaré la Commission européenne. Les signataires conviennent de faire davantage pour lutter contre les deepfakes, les faux comptes et la publicité politique, tandis que le non-respect peut entraîner des amendes pouvant atteindre 6% du chiffre d'affaires mondial d'une entreprise.

La version mise à jour du code anti-désinformation de l'UE obligerait les entreprises de technologie et de médias sociaux à partager des données clés avec des pays individuels pour aider à lutter contre la désinformation.

Un "code de pratique sur la désinformation" mis à jour obligera les entreprises technologiques à divulguer comment le contenu préjudiciable est supprimé et bloqué.

Il présentera également plus clairement des exemples de contenus préjudiciables tels que les deepfakes, qui sont des contrefaçons vidéo qui donnent l'impression que les gens font ou disent des choses qu'ils n'ont jamais faites.

 


Mardi 21 Juin 2022

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