Personne ne l’a vu venir. Pas de keynote. Pas de vidéo teasing. Et pourtant, les Tesla Model 3 et Model Y s’apprêtent à devenir bien plus endurantes, avec une autonomie WLTP qui grimpe… jusqu’à 750 kilomètres. Sans changement d’architecture. Sans annonce officielle. Juste un petit glissement de fiche technique, en douce.
Une batterie plus dense en énergie qui fait plus… avec moins
L’information ne vient pas de Tesla, mais d’un leaker bien connu de la communauté, eivissacopter, qui a repéré une certification allemande un peu spéciale. Elle mentionne une nouvelle batterie, nommée 5M, conçue par LG Energy Solutions. Sa spécificité ? Une chimie NMC classique (nickel-manganèse-cobalt), mais avec de nouvelles cellules M53, plus denses en énergie.
Résultat : la capacité nette grimpe à 84,7 kWh, contre 79,7 précédemment. Et le tout en perdant du poids : -8 kilos. Pas de révolution technique visible, mais un gain net sur tous les plans.
Et ce petit surplus de kWh ? Il change tout.
Jusqu’à 750 km WLTP pour la Model 3 Long Range propulsion : un record discret
Avec cette batterie, la Model 3 Grande Autonomie propulsion (RWD) en configuration 18 pouces atteindrait 750 kilomètres d’autonomie WLTP. Oui, 750 km. C’est presque 50 de plus que la version précédente. Même la version transmission intégrale dépasse désormais les 660 km avec les bonnes jantes.
Même constat pour le Model Y Grande Autonomie : en 20 pouces, il passe la barre symbolique des 600 kilomètres.
Ce sont des chiffres qui, il y a encore deux ans, étaient réservés aux rêves de concept-cars. Aujourd’hui, ils débarquent… sans fanfare.
Une stratégie de l’ombre : Tesla itère, optimise et surprend
Cette évolution n’a rien de spectaculaire en apparence : pas de 800 volts, pas de nouvelle chimie au lithium-fer-phosphate boostée au manganèse, pas de refonte de plateforme. Tout reste identique… à part les performances.
C’est exactement la stratégie Tesla depuis ses débuts : ne jamais arrêter d’itérer, même sans le dire. Et cette fois encore, ça marche. Car cette batterie corrige un point faible majeur : les packs européens LG étaient moins généreux que ceux de Panasonic aux États-Unis. Ce n’est plus le cas. 84,7 kWh net contre environ 82 kWh côté US : l’Europe prend l’avantage.
La Model 3 Performance européenne retrouve ses chevaux perdus
Autre bénéfice inattendu : la Model 3 Performance vendue en Europe était jusqu’ici bridée par une batterie incapable de fournir toute la puissance du moteur. Conséquence : jusqu’à 50 chevaux de moins qu’aux États-Unis, selon les bancs de test.
Avec le pack 5M, cet écart serait enfin comblé. La puissance maximale est atteinte, la Model 3 Performance européenne retrouve son rang. Et ça, c’est un détail que les amateurs de conduite sportive ne manqueront pas de remarquer.
Une commercialisation dès octobre en Europe ? Les indices s’accumulent
En Australie, le configurateur Tesla affiche déjà un Model Y Long Range en 20 pouces à 600 km WLTP : c’est exactement le chiffre attendu avec cette nouvelle batterie. La Chine l’a adoptée depuis juillet. L’Europe pourrait suivre dès octobre 2025, selon les fuites.
Pas de mise en scène, pas d’annonce. Juste un changement silencieux mais stratégique, qui conforte Tesla comme leader sur l’autonomie… sans tout casser.
Et si le futur de l’électrique n’était pas dans le spectaculaire, mais dans l’optimisation invisible ?
Une batterie plus dense en énergie qui fait plus… avec moins
L’information ne vient pas de Tesla, mais d’un leaker bien connu de la communauté, eivissacopter, qui a repéré une certification allemande un peu spéciale. Elle mentionne une nouvelle batterie, nommée 5M, conçue par LG Energy Solutions. Sa spécificité ? Une chimie NMC classique (nickel-manganèse-cobalt), mais avec de nouvelles cellules M53, plus denses en énergie.
Résultat : la capacité nette grimpe à 84,7 kWh, contre 79,7 précédemment. Et le tout en perdant du poids : -8 kilos. Pas de révolution technique visible, mais un gain net sur tous les plans.
Et ce petit surplus de kWh ? Il change tout.
Jusqu’à 750 km WLTP pour la Model 3 Long Range propulsion : un record discret
Avec cette batterie, la Model 3 Grande Autonomie propulsion (RWD) en configuration 18 pouces atteindrait 750 kilomètres d’autonomie WLTP. Oui, 750 km. C’est presque 50 de plus que la version précédente. Même la version transmission intégrale dépasse désormais les 660 km avec les bonnes jantes.
Même constat pour le Model Y Grande Autonomie : en 20 pouces, il passe la barre symbolique des 600 kilomètres.
Ce sont des chiffres qui, il y a encore deux ans, étaient réservés aux rêves de concept-cars. Aujourd’hui, ils débarquent… sans fanfare.
Une stratégie de l’ombre : Tesla itère, optimise et surprend
Cette évolution n’a rien de spectaculaire en apparence : pas de 800 volts, pas de nouvelle chimie au lithium-fer-phosphate boostée au manganèse, pas de refonte de plateforme. Tout reste identique… à part les performances.
C’est exactement la stratégie Tesla depuis ses débuts : ne jamais arrêter d’itérer, même sans le dire. Et cette fois encore, ça marche. Car cette batterie corrige un point faible majeur : les packs européens LG étaient moins généreux que ceux de Panasonic aux États-Unis. Ce n’est plus le cas. 84,7 kWh net contre environ 82 kWh côté US : l’Europe prend l’avantage.
La Model 3 Performance européenne retrouve ses chevaux perdus
Autre bénéfice inattendu : la Model 3 Performance vendue en Europe était jusqu’ici bridée par une batterie incapable de fournir toute la puissance du moteur. Conséquence : jusqu’à 50 chevaux de moins qu’aux États-Unis, selon les bancs de test.
Avec le pack 5M, cet écart serait enfin comblé. La puissance maximale est atteinte, la Model 3 Performance européenne retrouve son rang. Et ça, c’est un détail que les amateurs de conduite sportive ne manqueront pas de remarquer.
Une commercialisation dès octobre en Europe ? Les indices s’accumulent
En Australie, le configurateur Tesla affiche déjà un Model Y Long Range en 20 pouces à 600 km WLTP : c’est exactement le chiffre attendu avec cette nouvelle batterie. La Chine l’a adoptée depuis juillet. L’Europe pourrait suivre dès octobre 2025, selon les fuites.
Pas de mise en scène, pas d’annonce. Juste un changement silencieux mais stratégique, qui conforte Tesla comme leader sur l’autonomie… sans tout casser.
Et si le futur de l’électrique n’était pas dans le spectaculaire, mais dans l’optimisation invisible ?