Le bras de fer entre Washington et Pékin concernant l’avenir de TikTok sur le sol américain pourrait bientôt prendre fin. Selon plusieurs sources concordantes, l’administration Trump aurait trouvé un accord-cadre avec la Chine pour éviter l’interdiction de l’application populaire. Au cœur de cette entente : la cession de l’activité américaine de TikTok à un consortium d’investisseurs — dont ferait partie Oracle.
Si l’accord n’a pas encore été officialisé, les informations relayées par CBS et CNBC laissent penser que la société Oracle — spécialisée dans les services cloud — jouerait un rôle central dans cette nouvelle organisation. Le consortium pourrait également inclure d’autres investisseurs américains de poids, comme le fonds Silver Lake, ainsi que des partenaires financiers déjà liés à ByteDance, la maison-mère chinoise de TikTok.
Toujours selon CNBC, Oracle continuerait de fournir à TikTok ses services cloud, dans le cadre de l'accord bilatéral. Ce maintien de partenariat viendrait rassurer les autorités américaines quant à la sécurité des données des utilisateurs.
La pression s’était intensifiée ces derniers mois, Washington exigeant que TikTok soit cédé à un groupe non chinois pour éviter son bannissement aux États-Unis. Après plusieurs reports d’échéance, cet accord-cadre apparaît comme une solution diplomatique pour maintenir l’application dans le paysage numérique américain sans compromettre les intérêts de sécurité nationale.
Donald Trump a par ailleurs indiqué qu’il s’entretiendra avec le président chinois Xi Jinping dans les prochains jours pour finaliser les derniers détails de cette entente.
Ce deal tombe à point nommé pour Oracle, qui bénéficie déjà d’une valorisation en forte hausse grâce à ses avancées dans le domaine de l’intelligence artificielle. La récente publication de ses résultats trimestriels a fait bondir le titre en Bourse, propulsant la fortune de son fondateur, Larry Ellison, au-delà de celle d’Elon Musk, selon certaines estimations provisoires.
Bien que ces informations restent à confirmer officiellement, elles marquent une avancée notable dans le long feuilleton TikTok. Un communiqué officiel ou une déclaration conjointe des deux pays pourrait intervenir dans les prochains jours, précisant les contours définitifs du partenariat et les implications pour les utilisateurs américains.
Si l’accord n’a pas encore été officialisé, les informations relayées par CBS et CNBC laissent penser que la société Oracle — spécialisée dans les services cloud — jouerait un rôle central dans cette nouvelle organisation. Le consortium pourrait également inclure d’autres investisseurs américains de poids, comme le fonds Silver Lake, ainsi que des partenaires financiers déjà liés à ByteDance, la maison-mère chinoise de TikTok.
Toujours selon CNBC, Oracle continuerait de fournir à TikTok ses services cloud, dans le cadre de l'accord bilatéral. Ce maintien de partenariat viendrait rassurer les autorités américaines quant à la sécurité des données des utilisateurs.
La pression s’était intensifiée ces derniers mois, Washington exigeant que TikTok soit cédé à un groupe non chinois pour éviter son bannissement aux États-Unis. Après plusieurs reports d’échéance, cet accord-cadre apparaît comme une solution diplomatique pour maintenir l’application dans le paysage numérique américain sans compromettre les intérêts de sécurité nationale.
Donald Trump a par ailleurs indiqué qu’il s’entretiendra avec le président chinois Xi Jinping dans les prochains jours pour finaliser les derniers détails de cette entente.
Ce deal tombe à point nommé pour Oracle, qui bénéficie déjà d’une valorisation en forte hausse grâce à ses avancées dans le domaine de l’intelligence artificielle. La récente publication de ses résultats trimestriels a fait bondir le titre en Bourse, propulsant la fortune de son fondateur, Larry Ellison, au-delà de celle d’Elon Musk, selon certaines estimations provisoires.
Bien que ces informations restent à confirmer officiellement, elles marquent une avancée notable dans le long feuilleton TikTok. Un communiqué officiel ou une déclaration conjointe des deux pays pourrait intervenir dans les prochains jours, précisant les contours définitifs du partenariat et les implications pour les utilisateurs américains.