L’étude souligne la complexité de l’écosystème marketing moderne :
Cette fragmentation explique en grande partie pourquoi l’IA reste cantonnée à des tests plutôt qu’à une intégration stratégique.
Malgré ces défis, l’appétit pour l’IA reste fort :
66 % des CMO prévoient d’investir dans des plateformes marketing IA dans les 12 prochains mois. Les critères prioritaires : la réputation et l’accompagnement des fournisseurs (61 %), suivis du potentiel de retour sur investissement (56 %).
Pour José Antonio Martínez Aguilar (JAMA), CEO de Making Science, « l’absence de coordination stratégique est aujourd’hui le principal frein. Dans un environnement de plus en plus compétitif, la capacité à unifier création, média et données sera décisive pour se démarquer. »
L’étude montre également que l’optimisation en temps réel entre les canaux est perçue comme le principal atout de l’IA par 67 % des CMO, devant la production créative à grande échelle, la planification centralisée et l’automatisation des workflows.
Pour Making Science, la prochaine étape de l’adoption ne sera pas définie par l’accès aux outils, mais par la capacité à les coordonner entre les canaux et les équipes. En d’autres termes, l’enjeu n’est plus de multiplier les solutions IA, mais de construire une stratégie intégrée.