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Jimmy Lin, Technology France Director de GETAC
Les dépenses mondiales consacrées à la transformation numérique dans le secteur de la santé devraient augmenter de 61,9 milliards d'euros en 2023 à 240,6 milliards d'euros* d'ici 2033. Cette croissance changera fondamentalement la façon dont des millions de patients reçoivent un traitement médical chaque année.
De nombreux pays européens ont déjà commencé à transformer leurs systèmes de santé en numérisant les dossiers des patients, contribuant ainsi à simplifier les processus et à améliorer l'accès aux informations clés lors des admissions. Le fournisseur allemand d'assurance maladie Barmer a d'ailleurs déclaré dans un rapport publié l'année dernière que la dématérialisation de ces dossiers permettrait d'éviter le décès de 70 000 personnes par an, notamment chez les patients qui prennent plusieurs types de médicaments.
La transformation numérique joue également un rôle majeur dans les services médicaux d'urgence, où une communication efficace et un accès rapide aux informations sur les patients permettent aux secouristes de disposer des renseignements clés rapidement.
De plus en plus de structures de soins optent pour des équipements et des solutions durcis
L'utilisation de technologies numériques sur le terrain requiert d'utiliser des solutions informatiques capables de résister aux conditions difficiles de l'environnement dans lequel elles sont déployées : météo défavorable, fluctuations de température extrêmes, chocs et chutes accidentels. Ainsi, les professionnels de la santé doivent pouvoir compter sur des dispositifs fiables et efficaces, quelle que soit la situation à laquelle ils sont confrontés. C'est pourquoi un nombre croissant d'organisations de services d'urgence, comme le Yorkshire Ambulance Service en Angleterre, le Region Dalarna Ambulance Service en Suède, et bien d'autres, choisissent de placer une technologie robuste au cœur de leurs stratégies de transformation numérique.
De nombreux pays européens ont déjà commencé à transformer leurs systèmes de santé en numérisant les dossiers des patients, contribuant ainsi à simplifier les processus et à améliorer l'accès aux informations clés lors des admissions. Le fournisseur allemand d'assurance maladie Barmer a d'ailleurs déclaré dans un rapport publié l'année dernière que la dématérialisation de ces dossiers permettrait d'éviter le décès de 70 000 personnes par an, notamment chez les patients qui prennent plusieurs types de médicaments.
La transformation numérique joue également un rôle majeur dans les services médicaux d'urgence, où une communication efficace et un accès rapide aux informations sur les patients permettent aux secouristes de disposer des renseignements clés rapidement.
De plus en plus de structures de soins optent pour des équipements et des solutions durcis
L'utilisation de technologies numériques sur le terrain requiert d'utiliser des solutions informatiques capables de résister aux conditions difficiles de l'environnement dans lequel elles sont déployées : météo défavorable, fluctuations de température extrêmes, chocs et chutes accidentels. Ainsi, les professionnels de la santé doivent pouvoir compter sur des dispositifs fiables et efficaces, quelle que soit la situation à laquelle ils sont confrontés. C'est pourquoi un nombre croissant d'organisations de services d'urgence, comme le Yorkshire Ambulance Service en Angleterre, le Region Dalarna Ambulance Service en Suède, et bien d'autres, choisissent de placer une technologie robuste au cœur de leurs stratégies de transformation numérique.
Les principales tendances technologiques à l'origine de la révolution numérique
Getac s'est récemment associé à Statista pour identifier les principales tendances technologiques qui sont à l'origine de la révolution numérique du secteur de la santé, alimentée par des appareils et des solutions durcis.
1. L’intelligence Artificielle
L'intelligence artificielle (IA) connaîtra une croissance exponentielle dans le secteur de la santé au cours des prochaines années, la valeur du marché devrait atteindre près de 180 milliards d'euros* en 2030.
L'IA est de plus en plus utilisée, et plus d'un tiers des hôpitaux et des prestataires de soins de santé de l'Union européenne envisagent de mettre en œuvre cette technologie dans le futur, en particulier pour faciliter le suivi des patients.
Pour les services médicaux d'urgence, l'IA a le potentiel d'améliorer le parcours des patients à plusieurs étapes clés. Par exemple, les systèmes de répartition et de navigation guidés par l'IA et alimentés par des dispositifs durcis embarqués permettent de réduire considérablement les temps de trajet des ambulances. Ainsi, les intervenants arrivent plus vite sur les lieux et les patients sont plus rapidement pris en charge et conduit à l'hôpital.
2. L’Internet des Objets (IoT)
Les dispositifs médicaux IoT, comme ceux de surveillance des signes vitaux, représente de véritables atouts pour les équipes d'intervention d'urgence et connaissent, par conséquent, un développement particulièrement rapide. Le personnel des urgences peut ainsi préparer efficacement l'arrivée des patients, ce qui permet in fine d'améliorer considérablement les protocoles de prise en charge.
3. La connectivité 5G
Les pays européens les plus avancés disposent déjà de réseaux 5G, et ceux de l'Europe de l'Est intensifient actuellement leurs efforts de déploiement. Le développement de la 5G dans ces zones géographiques laisse présager que l'utilisation de solutions essentielles telles que la télésanté, le contrôle du trafic, les dispositifs portables et les appareils/véhicules connectés se généralisera au cours des années à venir. La forte progression de l'usage d'appareils durcis équipés de la 5G permet aux secouristes de communiquer rapidement avec leurs collègues et de prendre des décisions plus éclairées, améliorant ainsi la prise en charge des patients.
4. Réalité Augmentée et Réalité Virtuelle
Qu'il s'agisse de la formation du personnel ou du traitement des patients, la réalité augmentée et la réalité virtuelle (RA et RV) présentent de nombreuses applications dans le secteur médical. Il n'est donc pas surprenant que le marché européen de la réalité augmentée et virtuelle dans le secteur de la santé devrait atteindre 2,8 milliards d'euros* d'ici à 2025.
Associés à un appareil durci approprié, les casques de réalité augmentée permettent au personnel médical d'afficher et d'analyser des données vitales sur un patient tout en restant attentif à ce dernier. Cela est particulièrement utile dans les situations urgentes, où les intervenants doivent pouvoir surveiller continuellement l'état de santé du patient.
La réalité virtuelle, quant à elle, s'impose peu à peu comme un outil technologique clé dans la formation médicale. En effet, elle permet de confronter, en toute sécurité, les étudiants à de nouveaux scénarios potentiellement dangereux et d'adapter ces derniers en temps réel en fonction des réactions de chacun. La réalité virtuelle est donc un excellent outil pour compléter les exercices traditionnels et fournir une formation plus approfondie.
Ces quatre exemples illustrent la façon dont la transformation numérique transforme en profondeur le mode de fonctionnement du secteur de la santé. La technologie durcie permet d'offrir de nombreux avantages, qui ne se limitent pas seulement à la prise en charge des patients hospitalisés. Désormais, les urgentistes peuvent exploiter les capacités de l'IA, de l'IoT, de la 5G et de la réalité augmentée et virtuelle (AR/VR) lorsqu'ils sont sur le terrain, dans des situations difficiles ou défavorables. La technologie permet alors d'améliorer considérablement les conditions de prise en charge des patients à tous les stades de leur parcours au sein de l'établissement de santé.
Pour plus d'informations sur la gamme de solutions durcies de Getac à destination des services médicaux d'urgence, veuillez consulter le site www.getac.com.
* Les chiffres monétaires ont été convertis et arrondis de USD en EUR aux taux de change en vigueur le 28 septembre 2023.
1. L’intelligence Artificielle
L'intelligence artificielle (IA) connaîtra une croissance exponentielle dans le secteur de la santé au cours des prochaines années, la valeur du marché devrait atteindre près de 180 milliards d'euros* en 2030.
L'IA est de plus en plus utilisée, et plus d'un tiers des hôpitaux et des prestataires de soins de santé de l'Union européenne envisagent de mettre en œuvre cette technologie dans le futur, en particulier pour faciliter le suivi des patients.
Pour les services médicaux d'urgence, l'IA a le potentiel d'améliorer le parcours des patients à plusieurs étapes clés. Par exemple, les systèmes de répartition et de navigation guidés par l'IA et alimentés par des dispositifs durcis embarqués permettent de réduire considérablement les temps de trajet des ambulances. Ainsi, les intervenants arrivent plus vite sur les lieux et les patients sont plus rapidement pris en charge et conduit à l'hôpital.
2. L’Internet des Objets (IoT)
Les dispositifs médicaux IoT, comme ceux de surveillance des signes vitaux, représente de véritables atouts pour les équipes d'intervention d'urgence et connaissent, par conséquent, un développement particulièrement rapide. Le personnel des urgences peut ainsi préparer efficacement l'arrivée des patients, ce qui permet in fine d'améliorer considérablement les protocoles de prise en charge.
3. La connectivité 5G
Les pays européens les plus avancés disposent déjà de réseaux 5G, et ceux de l'Europe de l'Est intensifient actuellement leurs efforts de déploiement. Le développement de la 5G dans ces zones géographiques laisse présager que l'utilisation de solutions essentielles telles que la télésanté, le contrôle du trafic, les dispositifs portables et les appareils/véhicules connectés se généralisera au cours des années à venir. La forte progression de l'usage d'appareils durcis équipés de la 5G permet aux secouristes de communiquer rapidement avec leurs collègues et de prendre des décisions plus éclairées, améliorant ainsi la prise en charge des patients.
4. Réalité Augmentée et Réalité Virtuelle
Qu'il s'agisse de la formation du personnel ou du traitement des patients, la réalité augmentée et la réalité virtuelle (RA et RV) présentent de nombreuses applications dans le secteur médical. Il n'est donc pas surprenant que le marché européen de la réalité augmentée et virtuelle dans le secteur de la santé devrait atteindre 2,8 milliards d'euros* d'ici à 2025.
Associés à un appareil durci approprié, les casques de réalité augmentée permettent au personnel médical d'afficher et d'analyser des données vitales sur un patient tout en restant attentif à ce dernier. Cela est particulièrement utile dans les situations urgentes, où les intervenants doivent pouvoir surveiller continuellement l'état de santé du patient.
La réalité virtuelle, quant à elle, s'impose peu à peu comme un outil technologique clé dans la formation médicale. En effet, elle permet de confronter, en toute sécurité, les étudiants à de nouveaux scénarios potentiellement dangereux et d'adapter ces derniers en temps réel en fonction des réactions de chacun. La réalité virtuelle est donc un excellent outil pour compléter les exercices traditionnels et fournir une formation plus approfondie.
Ces quatre exemples illustrent la façon dont la transformation numérique transforme en profondeur le mode de fonctionnement du secteur de la santé. La technologie durcie permet d'offrir de nombreux avantages, qui ne se limitent pas seulement à la prise en charge des patients hospitalisés. Désormais, les urgentistes peuvent exploiter les capacités de l'IA, de l'IoT, de la 5G et de la réalité augmentée et virtuelle (AR/VR) lorsqu'ils sont sur le terrain, dans des situations difficiles ou défavorables. La technologie permet alors d'améliorer considérablement les conditions de prise en charge des patients à tous les stades de leur parcours au sein de l'établissement de santé.
Pour plus d'informations sur la gamme de solutions durcies de Getac à destination des services médicaux d'urgence, veuillez consulter le site www.getac.com.
* Les chiffres monétaires ont été convertis et arrondis de USD en EUR aux taux de change en vigueur le 28 septembre 2023.
Cécile Petitgand, Data Lama : «Il faut un modèle de gouvernance inclusive et éthique des données »
